La SVS estime qu’il est raisonnable de pouvoir ajouter à l’alimentation des animaux des protéines animales qui ne sont pas destinés à la consommation humaine. Il est toutefois important que les mesures nécessaires soient prises pour éviter le développement de nouvelles maladies à prions. La SVS se prononce en outre pour une mise en œuvre uniforme dans les exploitations d’élevage et serait favorable à un concept d’autocontrôle de la branche à l’échelle nationale.