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ASMV du mois de septembre 2024

Aux termes de la révision en cours de l'ordonnance sur la chasse, les vétérinaires sont habilités à traiter les animaux sauvages en détresse sans devoir requérir une autorisation. C'est un premier pas dans la bonne direction. Mais la thématique de la faune sauvage soulève encore d'autres questions.

Lorsqu’un jeune oiseau empêtré dans un filet est amené dans un cabinet vétérinaire, le vétérinaire se retrouve face à un dilemme. En vertu de la législation actuellement en vigueur, les vétérinaires sont considérés comme des particuliers. Ils ne peuvent donc traiter les animaux sauvages qu'avec une autorisation ou un permis délivré par le service compétent, lesquels ne sont par ailleurs pas toujours faciles à obtenir à n'importe quelle heure. La révision en cours de l'ordonnance sur la chasse veut pour la première fois intégrer une disposition permettant aux vétérinaires de pratiquer le premier traitement aux animaux sauvages le requérant, sans devoir demander d’autorisation. Quoi qu’il en soit, la question de savoir qui financera le traitement demeure ouverte. C'est un point toujours insatisfaisant pour les vétérinaires, que la révision de l'ordonnance en cours ne règle malheureusement toujours pas.

Aux États-Unis, des vaches laitières sont touchées par la grippe aviaire, de même que des chats et des êtres humains qui ont été en contact avec ces vaches. Est-ce que cela pourrait entraîner une pandémie d’influenza? Barbara Wieland de l’IVI fait le point sur la question.

Contrat d’entreprise ou mandat? Cet ergotage juridique recèle bien davantage de nuances que l’on peut le présumer à première vue. La relation entre vétérinaire et clientèle nécessite une qualification juridique en particulier lorsque des litiges sont soumis à un tribunal.

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